Clarisse témoigne de son premier coaching

Clarisse travaille chez Andera Partners, un des mécènes de Capitales. En animant des ateliers et en coachant des jeunes, elle découvre un autre univers :
“Mon premier coaching s’est super bien passé. Le jeune que j’accompagnais cherchait un stage à l’étranger et je me suis dit que cela allait être compliqué.  A ma grande surprise il a trouvé 3 semaines plus tard. J’étais évidemment contente pour lui, mais aussi presque déçue de ne pas pouvoir continuer le coaching, car j’avais un bon contact avec lui. J’ai découvert que quand on donne du temps à un jeune, on reçoit beaucoup en retour.   
 
Ma première rencontre avec le jeune s’est passé dans son foyer, en compagnie de son éducatrice:  un rendez-vous d’ ‘une heure pour apprendre à se connaître Ca s’est tout de suite bien passé, on a rigolé, un bon feeling s’est installé. C’est là qu’il ma raconté son projet de stage à l’étranger. Il avait une deadline très serrée, et je me suis dit :'”est ce que je vais être a la hauteur? “
 
La suite du coaching s’est fait par téléphone. Je lui ai donné mes astuces et je lui ai dit  où je pensais qu’il pouvait trouver des offres de stage. A notre second rendez-vous,  il avait déjà deux pistes concrètes. On a échangé autour de comment il avait vécu ses entretiens téléphoniques. J’ai été très surprise quand il a signé son stage peu après. Mais il était tellement motivé, tellement clair dans sa tète sur ce qu’il voulait, et toujours souriant,  je pense que ça a fait la différence. Je me suis demandée si j’avait servi à quelque chose.  Mais le rôle du coach, ca peut être simplement d’encourager le jeune. Sentir qu’on a quelqu’un derrière soi, ça aussi ça peut faire la différence.